Claude Lanzmann : " Pour faire parler un nazi, mieux vaut bafouiller..."

Elevé en France sans aucune référence à la culture juive, c'est en Israël où il se rend en 1952 que Claude Lanzmann vit son premier véritable choc identitaire. "Né pour être témoin", comme il le dit lui-même, il s'appuiera constamment sur cette sensation d'avoir un pied dedans, un pied dehors pour explorer les fondements de l'identité juive. A l'occasion de la diffusion, en janvier 2010, de l'oeuvre intégrale de Shoah sur Arte, le réalisateur raconte comment cette position à la fois intérieure et extérieure au judaïsme lui a permis de réaliser son oeuvre.

 


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