L'espion rohmérien et la sincérité du mensonge

Si la figure de l'espion n'est pas nouvelle chez le cinéaste, c'est toutefois la première fois que Rohmer met en scène un espion professionnel. Cette singularité a incité le critique Hervé Aubron à proposer une lecture toute particulière du Triple agent rhomérien. Extraits d'une belle étude parue dans la revue Vertigo.


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