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Gilles Carle, disparition d'un impertinent libertin
L'accent québécois n'aura jamais été aussi familier aux Français qu'à travers les films de Gilles Carle. Dans le...
30/11/2010
Depuis 1991, Gilles Carle, le réalisateur prolifique de "La Vraie nature de Bernadette" et de "Maria Chapdelaine", lutte farouchement contre la maladie de Parkinson. Tout en prenant pour prétexte son tout dernier scénario, terminé en 2000 et intitulé «Mona MC Gill et son vieux père malade», le film jette un regard pénétrant et amical sur le cinéaste aux prises avec la souffrance et la mort. Et c'est à travers la voix de Donald Pilon (l'un des acteurs fétiches de Carle) que l'on pénètre l'intimité du cinéaste...
Depuis 1991, Gilles Carle, le réalisateur prolifique de "La Vraie nature de Bernadette" et de "Maria Chapdelaine", lutte farouchement contre la maladie de Parkinson. Tout en prenant pour prétexte son tout dernier scénario, terminé en 2000 et intitulé «Mona MC Gill et son vieux père malade», le film jette un regard pénétrant et amical sur le cinéaste aux prises avec la souffrance et la mort. Et c'est à travers la voix de Donald Pilon (l'un des acteurs fétiches de Carle) que l'on pénètre l'intimité du cinéaste...
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