

Pendant l'été 1942, dans une France occupée, le cinéaste Jean Grémillon plante ses caméras en Corrèze, au pied du barrage de l'Aigle, alors en construction. Le réalisateur et son équipe tournent «Lumière d'été», un film poétique aux dialogues écrits par Jacques Prévert mais aussi une critique à peine voilée de l'Occupation. Grémillon, cinéaste populaire et homme de gauche l’a bien compris : produire des films ambitieux permet de mieux résister. Sous couvert de poésie, il développe des thèmes sociaux et féministes, il critique très ouvertement l’occupation. « Lumière d’été » échappe de justesse à la censure de Vichy. Pourtant, à la Libération, ce réalisateur, que tous les cinéphiles placent à l’égal d’un Renoir ou d’un Carné, tombe dans l’oubli.
Synopsis
Pendant l'été 1942, dans une France occupée, le cinéaste Jean Grémillon plante ses caméras en Corrèze, au pied du barrage de l'Aigle, alors en construction. Le réalisateur et son équipe tournent «Lumière d'été», un film poétique aux dialogues écrits par Jacques Prévert mais aussi une critique à peine voilée de l'Occupation. Grémillon, cinéaste populaire et homme de gauche l’a bien compris : produire des films ambitieux permet de mieux résister. Sous couvert de poésie, il développe des thèmes sociaux et féministes, il critique très ouvertement l’occupation. « Lumière d’été » échappe de justesse à la censure de Vichy. Pourtant, à la Libération, ce réalisateur, que tous les cinéphiles placent à l’égal d’un Renoir ou d’un Carné, tombe dans l’oubli.
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