
Entretien
Boris, Boby, Serge et les autres - rencontre avec Alain Goraguer, compositeur
Fin des années 50, au Touquet, un jeune pianiste joue sur la pelouse du Westminster. C'est l'été. C'est Gainsbou...
21/03/2013
Charles Beaumont, propriétaire d'une plantation aux Antilles, invite chez lui un jeune couple qui va bientôt se marier. Il essaie pourtant de séduire la jeune femme et de la convaincre d'abandonner son fiancé. Face à son refus, il s'en remet à un maître vaudou... qui transforme la belle en zombie ! Tourné dans les décors du "Dracula" de Tod Browning, un classique de la série B qui signe l'entrée du zombie dans l'histoire du cinéma. Un zombie inaugural, créature manipulée, métaphore de l'esclave-jouet du maître colonial tout puissant... en attendant sa future "autonomisation" par George Romero (avec "La Nuit des morts vivants", 1968, les zombies ne sont plus instruments d'un dieu supérieur mais de simples chairs en putréfaction sans autre but que de recouvrir le monde des vivants).
Charles Beaumont, propriétaire d'une plantation aux Antilles, invite chez lui un jeune couple qui va bientôt se marier. Il essaie pourtant de séduire la jeune femme et de la convaincre d'abandonner son fiancé. Face à son refus, il s'en remet à un maître vaudou... qui transforme la belle en zombie ! Tourné dans les décors du "Dracula" de Tod Browning, un classique de la série B qui signe l'entrée du zombie dans l'histoire du cinéma. Un zombie inaugural, créature manipulée, métaphore de l'esclave-jouet du maître colonial tout puissant... en attendant sa future "autonomisation" par George Romero (avec "La Nuit des morts vivants", 1968, les zombies ne sont plus instruments d'un dieu supérieur mais de simples chairs en putréfaction sans autre but que de recouvrir le monde des vivants).
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