
La Ville aux murs dauphins

Un architecte s'apprête à prononcer un discours sur les villes du futur. Quelques heures avant il rencontre une jeune femme dont la personnalité le trouble. Le voilà partagé entre l'immensité des villes et l'immensité de ses propres émotions...L'infiniment grand (des sentiments) et l'infiniment grand (des bâtiments)... Primé au Festival de Media (USA) en 2016 et le prix du Meilleur film étranger au festival Back in the Box à Fernleif en 2014.
Synopsis
Un architecte s'apprête à prononcer un discours sur les villes du futur. Quelques heures avant il rencontre une jeune femme dont la personnalité le trouble. Le voilà partagé entre l'immensité des villes et l'immensité de ses propres émotions...L'infiniment grand (des sentiments) et l'infiniment grand (des bâtiments)... Primé au Festival de Media (USA) en 2016 et le prix du Meilleur film étranger au festival Back in the Box à Fernleif en 2014.
Distribution
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Très belle rencontre entre ces deux êtres. Beaucoup de délicatesse et d'intelligence. Une part belle au rêve. De l'esthétisme dans les images architecturales, de l'émotion sur les visages. Une belle promesse d'amour... Très beau film, comme une douce poésie.
Un coup de foudre magnifiquement filmé : le spectateur ressentirait presque aussi des "papillons dans le ventre" en regardant ce court métrage. Jolie évocation de ce sentiment amoureux qui vous submerge d'un coup et met le désordre dans vos priorités. L'étincelle inattendue entre deux êtres en apparence différents mais pas que... La solitude et le désir de paternité sont aussi abordés subtilement. Bravo !
Le film commence avec de superbes images architecturales. Puis la simplicité de la rencontre, inattendue. Les regards et les gestes, plus que les paroles, expriment avec justesse et délicatesse le cheminement intérieur de cet homme, si sûr de lui dans son métier, et si gauche lorsque qu'il découvre l'amour...

Tout en douceur et très subtil, a visionner souvent !
Un très beau film, subtil, délicat, onirique. Comme une note de musique suspendue. Une rencontre entre un homme et une femme, un architecte qui rêve de murs sensibles comme une peau, quitte la ville réelle pour suivre une femme dans la forêt...
Tout se construit : les villes, les relations humaines… en douceur et en laissant les murs et les êtres respirer, comme une peau de dauphin.
Au-delà de son aspect simple et désintéressé, ce film se révèle peu à peu grandiose dans la captation de la subtilité des liens humains et des réseaux invisibles qui relient les êtres. Le spectateur y est respecté dans son autonomie imaginative. Marquant.
L'architecture et l'espace sont au coeur de ce film. On y pénètre dès le début et l'on reste comme imprégné tout au long, d'une ambiance poétique, lente et étrange sans doute marqué aussi par cette rencontre fortuite entre un homme et une femme un peu pareil, dans leur monde et cherchant à se connaître jusqu'à ce qu'un accident viennent perturber leur histoire... L'on ressent cet atmosphère entre immensité de l'architecture et profondeur des sentiments et ne laisse pas indifférent...
Un film étrange et romantique. J'ai trouvé la comédienne très juste. Toulouse est filmé différemment que d'habitude.
Une rêverie, deux rêveurs, un drame ... Un moment doux et poétique. Les sentiments se livrent avec pudeur et au fur et à mesure du voyage, on imagine, dans le ciel de ces paysages urbains quelques dauphins volants ... Merci et bravo !!
"La Ville aux murs dauphins" est un film exprimant l'équilibre. L'esthétisme du film est travaillé d'une manière aiguë . Les deux personnages principaux représentent l'équilibre entre l'Homme et la nature comme le Yin et le Yang, l'océan et la terre, l'homme et la femme, le jour et la nuit. L'univers du film nous plonge littéralement dans un aquarium, comme le loft de l'architecte et les vitres tout le long d'un pan de cet espace rectangulaire. Les objets forment des courbes et des lignes droites bien marqués. Le choix du filtre bleu, indigo sert intelligemment l'esthétisme du film. Ce court métrage m'évoque aussi la confrontation. La confrontation entre l'urbanisme et l'univers voluptueux de la nature. "La Ville aux murs dauphins" est un poème sous pellicules. La succession des plans forment des vers, des quatruns dans sa structure. Les comédiens sont bien dirigés et expriment avec douceur une certaine gravité, la dénaturation de l'espace urbain, la maladie. Les deux éléments, l'eau et la terre sont bien exploités. Le film montre intelligemment leur complémentarité.
De la création aux réactions , un vrai régal de l'avoir découvert et de suivre cette belle rencontre filmé, qui aujourd'hui fait le tour du monde !! Bravo
Une rencontre, des regards, des émotions. La caméra effleure les visages, les murs respirent et inspirent la très belle musique du film. Bravo.
Une façon de deviner l'amour à travers les murs...
De la livraison d’une plante à l’amour ! Rencontre imprévisible et inattendue pour ses deux êtres, amoureusement seuls. Dans ce film les regards et les silences expriment à eux seuls les émotions, on apprécie cette délicatesse. Au fur et mesure les sentiments vont crescendo, et expriment l’espoir. Tout respire, même les murs ! Un beau scénario, un bel hommage à la vie, à l’amour, à la nature et à la création
La construction de sentiments semblable à une construction matérielle, qui grandit étape par étape, comme pierre par pierre. J'ai aimé l'idée de la construction du futur inspirée par la nature. Je retiens cette caresse sur le visage qui renvoie à celle sur les murs dauphins. Et oui, il faut des rêveurs. Merci de nous le rappeler.
Une histoire de rencontre entre un Homme et une Femme où les regards interpellent. Un homme vivant son rêve de réaliser un habitat qui semblerait vivre en utilisant un revêtement comme la peau des dauphins en fonction du vent, du toucher, la forme se transformerait (je ne suis pas du tout experte en la matière, je sais que la peau des requins a été étudiée comme beaucoup de spécificités animales). Un espace de vie plein de vibrations et de sons. Une femme très souriante, curieuse qui s’intéresse et qui s’enfuit suite à une mauvaise nouvelle d’un accident de son petit garçon. Des lieux de Toulouse que je reconnais, une interpellation sur la présentation du projet en Australie sur la boite de nuit carrée ??? une sensation de relation forte entre ces deux personnes.
Quand création sentimentale se mêle à création architecturale, plus rien ne se crée, tout se transforme et se complète. Une belle lumière et des paroles délicates...
Tout en suggestion, délicatesse et pudeur. Le jeu des acteurs est tout en finesse. J'ai beaucoup aimé images et musique qui nous accompagnent vers l'imaginaire et tous les possibles.
Délicat et Langoureux. Bravo Mr Gaffié
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